Cette série a avant de commencer subi la foudre des fans de sherlock holmes, et des fans de la série britannique: tout sera donc moins bien...c'est écrit d'avance
Ben, moi j'ai bien accroché ce pilote...Pour une première enquête, scénario assez original, pas de grosses ficelles dans les déductions de sherlock..plutôt des éléments assez bien trouvés et qui s'enchaînent assez logiquement...
Dans l'histoire originelle, plusieurs théories défendaient l'idée de relations homosexuelles entre holmes et watson...faire de Watson une femme va entretenir cette ambiguité permanente, un jeu de séduction, qui il faut l'espérer n'aboutira à rien...On est en présence de deux handicapés sociaux qui vont à priori se compléter à merveille tout en s'affrontant parfois
Il y a un coté mentalist, en moins drôle, et finalement le sherlock américain est tout aussi orgueilleux, mais moins arrogant que ses prédecesseurs, cela semble le rendre plus humains...La relation Holmes Watson a un coté "bones"....les deux personnages qui vont s'aimer le plus au monde mais qui ne s'aimeront jamais..Alors certes ce sherlock n'aura pas le charisme de l'acteur britannique..Mais les deux personnages n'ont pas le même registre
Je vais arrêter les comparaisons, essayer de suivre cette série pour elle même...en tout cas j'attends impatiemment le début de la diffusion officielle pour avoir le 102
101
je trouve la scène du parloir très réussi..Elle donne le ton sur la relation ambigu Holmes Watson.... L'arroseur arrosé pris au piège de son passé même si on ne sait encore pas si la théorie de watson sur le fait que holmes a plongé dans la drogue a cause d'une femme est vraie..Il se venge bien à la fin sur le score du match de base ball...L'exaspération de watson m'a bien fait rire
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moi j'ai bien aimé cet épisode..mon préféré pour le moment..J'ai pas du tout vu arriver le renversement de situation..je voyais un syndrome de Stockholm tout simple mais pas la prise de pouvoir du kidnappé sur le kidnappeur...la scene des assouplissements m'a bien fait rire et globalement j'aime toujours autantr l'icapacité de Holmes a dire à Joan combien il a besoin d'elle, et du coup sa maladresse à cause de son égo démesuré